Lexique rénovation thermique

Il s’agit du coefficient qui définit l”exigence d’efficacité énergétique minimale du bâti. Cette exigence requiert une réduction simultanée de la demande d’énergie pour les éléments liés à la conception du bâtiment, tels que le chauffage, la climatisation et l’éclairage, ce qui signifie qu’ils doivent être optimisés indépendamment des systèmes énergétiques utilisés.

Dispositif mis en place par l’État en 2006 pour financer la transition énergétique. Il impose aux fournisseurs d’énergie de compenser leur impact carbone en acquérant auprès des consommateurs des certificats valorisant les économies d’énergies permises par des travaux d’efficacité énergétiques.

Unité de mesure du volume d’énergie économisé par l’installation d’un nouvel équipement, cumulé sur sa durée de vie. Elle tient compte de la perte d’efficacité énergétique consécutive à son usure avec le temps.

Technique d’isolation de combles perdus consistant à répandre sur le plancher de ces combles un isolant inerte (laine e roche, laine de bois …). L’isolant est installé par soufflage.

L’Isolation Thermique par l’Extérieur regroupe l’ensemble des techniques d’isolation des murs extérieurs ou de la façade d’une maison. C’est une solution efficace, notamment en rénovation. Elle permet de limiter les ponts thermiques.

Zone de l’enveloppe d’un bâtiment, présentant une continuité de conductivité thermique entre l’intérieur et l’extérieur. Cette continuité peut être due à la présence d’un composant conducteur (renfort armé dans le béton, fixation métallique traversante…) ou à la discontinuité de l’isolant par un choix lors de la conception ou suite à sa dégradation.

Règlementation Environnementale (RE 2020) remplacera au 1er janvier 2022 la Réglementation Thermique 2012 qui est une norme pour réglementer et encadrer les bâtiments neufs et de montrer leur consommation énergétique maximale.

Règlementation ayant pour objectif de limiter la consommation d’énergie primaire des constructions neuves à un plafond de 50 kWhEP/(m².an). Ce seuil est une moyenne résultant de modulations selon la zone géographique, l’altitude du bien, le type d’utilisation du bâtiment.